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Comment éviter de tricher sur le positionnement de votre site

Aujourd’hui le rêve de toute entreprise ou professionnel actif en ligne est de voir son site en tête des résultats de Google, vu l’énorme potentiel que peut offrir un bon positionnement sur le principal moteur de recherche.

En effet, figurer parmi les premiers résultats sur les moteurs de recherche, en plus d’offrir une grande visibilité, permet d’être trouvé par les utilisateurs intéressés par les produits et services proposés, au moment précis où ils ont besoin de les acheter ou de se renseigner à leur sujet.

Il va sans dire que c’est un énorme avantage car si les produits sont compétitifs et que le site est bien structuré et qualitativement valable, il sera très facile de transformer ces utilisateurs intéressés en clients !

Le souhait d’avoir la première position

Cependant, le désir de gagner la première page est si grand qu’il y a souvent le risque de s’appuyer sur de prétendus gourous et des professionnels improvisés qui, au mieux, n’obtiendront pas de résultats, cependant une perte de temps et d’argent, mais au pire, ils pourraient également causer de graves dommage pour le site !

En fait, le positionnement sur Google est devenu beaucoup plus difficile que par le passé, précisément parce que l’algorithme du grand G. au fil des années a évolué pour contrer et pénaliser les astuces et raccourcis qui étaient fréquemment utilisés pour manipuler les résultats de recherche.

Malgré cela, il y a encore aujourd’hui ceux qui continuent à utiliser des techniques très déconseillées qui, si dans l’immédiat elles peuvent encore apporter des résultats, à moyen et long terme elles peuvent entraîner des sanctions dont il peut être difficile de sortir.

De plus, même s’il n’est pas pénalisé, un site mal construit aspirera très peu au sommet de Google, restant ainsi complètement anonyme et pratiquement inutile.

Comment éviter les mauvaises surprises

Pour éviter les mauvaises surprises, il est donc toujours conseillé de s’appuyer sur des professionnels tels que les conseils de l’équipe de l’agence digitalpitch.ch, qui sur leur  site propose des services de conseil SEO visant à améliorer le positionnement sur les moteurs de recherche.

Pour réussir avec un site il faut en effet respecter les consignes que Google nous fournit directement: ainsi il sera possible de construire un site de qualité pouvant aspirer à obtenir un bon positionnement sur les moteurs de recherche.

Le classement d’un site se construit et s’améliore lentement, sans astuces ni raccourcis : si quelqu’un promet les premières positions en peu de temps, peut-être avec les offres « classiques » composées de packages de mots-clés bon marché à tant par kilo, une première devrait déjà être déclenché la sonnette d’alarme !

Les consignes de Google listent également toutes ces techniques, désormais bien connues, à proscrire pour ne pas encourir de sanctions plus ou moins sévères.

En bref, nous pouvons dire qu’il faut éviter les contenus dupliqués (répétés sur plusieurs pages ou copiés depuis d’autres sites), les mots-clés répétés de manière obsessionnelle dans le texte (keyword stuffing), les textes ou liens cachés, les liens entrants identifiables comme spam ou excessivement manipulateurs, etc.

Si l’agence ou le professionnel qui suit le chantier met en pratique ne serait-ce qu’une seule de ces actions, il est certainement conseillé d’aller ailleurs le plus tôt possible, avant de causer des dommages au site qui peuvent devoir être payés beaucoup plus cher en réparation qu’un normal. Conseil SEO bien fait.

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Faites évoluer votre carrière en tant qu’entrepreneur numérique

Dans la période actuelle, tout le monde doit avoir une idée sur l’entrepreneuriat. Si vous rêvez de devenir entrepreneur, ce n’est pas aussi difficile qu’il y a quelques décennies. Il existe de nombreux lieux disponibles pour les entrepreneurs potentiels pour démarrer leurs entreprises à des coûts minimes et presque sans dépenses en capital. Si nous parlons de la majorité des entrepreneurs dans le monde, ils sont associés à l’entrepreneuriat numérique. La raison en est que, dans les tendances actuelles des biens et produits numériques, la technologie est devenue essentielle au succès des entreprises en ligne. En fait, vous pouvez faire valoir que la plupart des entreprises s’appuient sur les tendances technologiques pour s’assurer qu’elles peuvent fonctionner correctement. La majorité des opérations quotidiennes sont déjà associées à la technologie, sans parler des stratégies marketing qui nécessitent de surfer sur Internet et de faire des recherches.

Responsabilités d’un entrepreneur numérique

Selon un sondage appelé SmallBizGenius, 99 % des mille participants affirment utiliser au moins un produit technologique pour mener leurs opérations quotidiennes. Or évidemment, tous les produits spécialisés n’ont pas la même compétence. Cependant, si vous êtes sur le point de devenir votre entreprise en ligne, que vous souhaitiez vendre sur un site Web ou une plateforme sociale, vous êtes en train de devenir un entrepreneur numérique. Si on parle de définition, ce type d’entrepreneuriat se définit comme une entreprise uniquement axée sur la vente sur Internet. Comme cet entrepreneuriat est axé sur les produits numériques, leurs opérations sont réalisées exclusivement. Les produits d’un entrepreneur sont commercialisés, livrés et parrainés exclusivement en ligne. Pour aller plus loin, ces entrepreneurs peuvent vendre des produits qui peuvent être vendus en exclusivité, tels que des logiciels téléchargeables, des livres électroniques, des abonnements, de l’hébergement Web, des produits SaaS, etc.

Conseils pour devenir un entrepreneur numérique prospère

1. Optimiser pour la recherche vocale

Pendant longtemps, la recherche vocale a été au centre de l’attention dans le monde technologique. De nombreuses personnes ont tendance à utiliser des technologies intelligentes pour gérer les micro-tâches de leur vie. Les personnes enclines à l’entrepreneuriat numérique veillent toujours à créer le meilleur plan de gestion des tâches qui puisse cocher toutes les cases de leur vie professionnelle et personnelle. Par exemple, s’ils marchent dans la rue, ils trouveront des gens qui parlent avec des écouteurs au lieu de mettre leur téléphone à l’oreille. Comme ils cherchent à gagner du temps, ils font part à Google de leurs besoins. Si vous ne l’avez pas encore fait, vous devez vous assurer d’optimiser la voix de votre entreprise. Selon les statistiques récentes, environ 50% des recherches en 2020 ont été effectuées par des locuteurs. Des recherches similaires suggèrent que 72% des personnes utilisent la recherche vocale dans leur vie quotidienne.

2. Mobile Optimization

Dans l’industrie numérique d’aujourd’hui, les entrepreneurs du monde entier n’ont vraiment pas d’autre choix. Depuis longtemps, les utilisateurs mobiles ont dépassé les utilisateurs d’ordinateurs de bureau sur le marché numérique. En Suisse seulement, plus de 85 % de la population possède un téléphone mobile. La plupart de ces personnes ont un smartphone à leur disposition, ce qui signifie qu’elles ont les informations nécessaires partout où elles vont (avec la nécessité d’Internet). Le nombre d’utilisateurs de smartphones a déjà franchi le chiffre de 3 milliards dans le monde. Les produits numériques étant de plus en plus à l’honneur, vous devez adopter une approche proactive et rechercher une bonne conception Web mobile pour votre plate-forme. Si vous voulez devenir un entrepreneur numérique prospère, l’optimisation mobile n’est plus une option, c’est désormais une nécessité. Comme il y a plus de trafic provenant des téléphones mobiles, vous devez accorder une attention égale ou supérieure au trafic mobile comme vous le faites avec le trafic des ordinateurs de bureau. Pour cela, je vous invite à contacter une agence digitale suisse à leur adresse suivante : www.digitalequestrians.ch

3. Confidentialité des clients

Comme il y a tellement d’escroqueries et de crimes dans le monde en ligne, vous devez toujours donner la priorité à la protection de votre site Web. Avec autant de fraudes numériques qui se produisent quotidiennement, les gens veulent s’assurer que le propriétaire de l’entreprise prouve l’authenticité pour gagner la confiance. Si votre site Web ne semble pas fiable, il est possible que les clients ne partagent pas leurs données personnelles avec vous. Cela entravera également vos ambitions de devenir un entrepreneur numérique prospère. Lorsque nous parlons de données personnelles, le client partage ce qui suit :

  • Nom
  • Adresse
  • Informations Bancaires
  • Préférences

Conclusion

L’évolution d’Internet change le monde à chaque seconde. Même s’il est très intéressant de vendre des choses en ligne, c’est aussi une tâche difficile d’être au courant de tout ce qui est associé à vos produits vendables.

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La Coupe du monde de football du Qatar utilisera un stade « démontable »

Il s’agit du stade 974, considéré comme le tout premier stade de la Coupe du monde de football à pouvoir être démonté puis remonté n’importe où dans le monde.

Il a été construit et financé par le Qatar, pays hôte de la Coupe du monde de cette année .

Il s’appelle 974 car le numéro est l’indicatif international du Qatar (+974), ainsi que le nombre exact de conteneurs maritimes utilisés dans la construction du stade.

Le concept du stade a été conçu par Fenwick Iribarren Architects , basé dans la capitale espagnole Madrid.

Le concept de durabilité est au cœur du stade, déclare Mark Fenwick, l’un des partenaires du cabinet d’architectes :

« Nous avons vraiment senti qu’il n’était pas vraiment nécessaire pour le Qatar d’avoir ce huitième stade après la Coupe du monde », dit-il.

« Nous avons donc décidé d’adopter une stratégie très radicale, qui consistait à voir si nous pouvions réellement concevoir le stade qui soit non seulement démontable, mais aussi transportable, et remontable dans un autre pays, soit comme un stade complet, ou sous forme de pièces différentes qui pourraient être assemblées en un nombre variable de bâtiments sportifs. »

L’argument de la durabilité a cependant été contesté. Certains soutiennent que le Qatar obtiendrait plus d’avantages environnementaux si les unités de climatisation vitales du stade et d’autres services publics étaient alimentés par des énergies renouvelables plutôt que par des combustibles fossiles.

Le stade a une capacité de 40 000 spectateurs et est construit selon une conception modulaire, en utilisant des conteneurs maritimes recyclés.

Une simplicité déconcertante

Fenwick croit que l’ingéniosité réside dans sa simplicité

« Fondamentalement, ce que nous avons fait, c’est que nous avions une structure, nous avons placé les conteneurs d’expédition sur cette structure, où ils sont nécessaires à différents niveaux, puis nous avons simplement plug and play, c’est-à-dire les brancher à l’électricité ou à tout autre service public, et le stade fonctionne dans cette idée, je pense, très spectaculaire et unique », dit-il.

« Le Qatar possède le tout premier stade démontable et remontable de l’histoire mondiale du football. »

Le stade 974 devrait être démantelé après la Coupe du monde de football 2022, qui devrait débuter au Qatar le 21 novembre et se terminer le 18 décembre.

Le tournoi se déroule généralement vers juin et juillet, mais la chaleur extrême dans le pays au cours de ces mois a conduit à ce qu’il se déroule en hiver

Bien que le stade soit démantelé, Fenwick pense qu’il existe une opportunité pour un héritage durable :

« C’est l’accomplissement ultime de l’héritage, qui est essentiellement que le stade sera démantelé, placé dans des conteneurs d’expédition et emportés sur un navire, et ils peuvent être emmenés dans un autre pays et remontés et ce qui serait fantastique, personnellement, c’est que ce stade soit utilisé pour la prochaine Coupe du monde, et que le stade serait alors à un autre endroit, de l’autre côté de l’océan, dans une autre Coupe du monde », dit-il.

Reste à voir si cela se concrétisera.

Le Qatar a déclaré que le stade serait offert aux pays sous-développés qui souhaitent l’utiliser.

Le stade a été testé lors de la Coupe du monde arabe de la FIFA que le Qatar a accueillie en novembre-décembre l’année dernière.

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La nature n’est pas (si) cruelle

Ce qui est génial quand on travaille avec de la matière vivante (même quand ce “travail” consiste à s’affaler dans un canapé pour regarder National Geographic pour vaincre ses insomnies chroniques), c’est que les possibilités d’être étonné sont nombreuses. D’ailleurs, récemment, je suis tombé sur un comportement assez intéressant: un phénomène d’adoption chez des laridés (comme les mouettes).

Ne vous faites pas de faux espoirs, ce billet n’apportera pas de vraies informations sur le sujet. C’est juste pour en parler rapidement, avant des choses plus conséquentes.

Chez ces laridés (dans le reportage en question, il devait s’agir de Larus canus, le goéland cendré), les oeufs éclosent de manière tout à fait particulière. Deux poussins en deux heures, puis un troisième beaucoup plus tard. Ce dernier étant désavantagé, il choisit en général de quitter le nid, et d’en rejoindre un autre.

D’ou plusieurs questions: l’arrivée d’un nouveau poussin représente un coût net pour les parents, et un désavantage pour leurs poussins. On pourrait imaginer qu’ils chassent l’”envahisseur”. Il n’en est rien. On peut entrer dans un raisonnement de type “le coût de la chasse surpasse le coût d’entretien”, assez classique, mais j’ai quand même du mal à y croire.

Pour qu’un comportement se généralise à ce point (et d’ailleurs, est-il inné?), il faut bien que les chances d’être acceptées soient assez grandes, d’ou peut-être l’hypothèse que le couple adoptif en retire des avantages. Mais lesquels?

On peut aussi imaginer que les goélands sont  aussi stupides que leurs ramiges, et qu’ils soient incapables de faire la différence entre leurs petits et ceux des autres. D’ailleurs, est-ce qu’il n’y à pas des phénomènes de “compatibilité” qui entrent en jeu, comme par exemple des motifs du plumage.

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Bonne année!

L’avantage du billet du 1er janvier, c’est qu’on a pas besoin de chercher le titre longtemps. Et après avoir courageusement combattu un virus particulièrement sournois (la semaine dernière), et testé le mélange château Ychem / Smecta, c’est tant mieux.

Quelques mots sur la récente inactivité de ce blog : ma petite bande passante ne suffit plus à absorber vos passages ici même, et mon hébergeur, dans un grand élan de solidarité, a décidé de tout couper. Et je n’avais pas franchement le temps de racheter un hébergement plus conséquent. Je m’en occupe après le 7 janvier, pour l’instant c’est un peu The Final Countdown jusqu’au dernier oral.

J’avoue que j’aurais bien eu un peu de temps, entre deux digestions ou dégustations de génépi (j’avais oublié que c’était aussi bon!), mais voilà, le gros bonhomme en rouge de chez Coca a déposé quelques livres au pied du sapin, qui méritaient une lecture attentive de ma part. En plus ma douce et tendre m’a offert un sac en coton personnalisé pour les transporter en toute élégance écologique. J’ai toujours voulu avoir un tote bag.

Déjà, pas très Xmas spirit, le remarquable livre Notre Combat, de Linda Ellia (qui lui consacre un blog). Et oui, ça m’a plombé le moral autant que ce genre de projet peut le faire… A lire (à regarder, surtout).

Et puis bon, on ne se refait pas, il y avait un livre un peu plus proche de mes occupations habituelles. Un petit livre vert, paru chez Seuil (coll. Science ouverte), et écrit par Jean Deustch. Avec un titre qui m’a fait tomber raide dingue du bouquin dès le premier regard : Le vers qui prenant l’escargot comme taxi — et autres histoires naturelles. Vraiment génial, ou histoire naturelle est pris au sens grec du terme, et ou l’auteur se livre a de petites enquêtes. Un livre de vulgarisation d’une rare perfection, ou les sources vont de Nature aux Histoires comme ça de Kipling.

Ah, et puis aussi, mais ça va intéresser nettement moins de monde, la famille (pardon, le genre) Lamellodiscus accueille encore une nouvelle espèce : L. theroni, en hommage à André Théron, directeur du CBETM.

Bref… bonne année à tous…